Dynamique et douce, entre centre-ville calme et proximité avec la capitale, le « 21e arrondissement de Paris » est aussi la seconde ville la plus densément peuplée du pays : l’immobilier vincennois se porte donc très bien, entre prix à la hausse et acquéreurs toujours plus nombreux.

Une démographie au service d’un marché immobilier dynamique

Michael, fondateur d’une petite agence immobilière de Vincennes, en est persuadé : « la hausse des prix immobiliers ne va pas s’arrêter du jour au lendemain dans la commune. ». Et pour cause : Vincennes attire toujours plus d’habitants chaque année. « Vincennes a attiré plus de 1 000 habitants supplémentaires en 10 ans, près de 7 000 en 20 ans, et ce malgré une densité déjà extrêmement élevée (près de 26 000 habitants au kilomètre carré, ndlr), la seconde de France derrière Levallois. ».

Avec ses 27 000 logements*, Vincennes a en théorie de quoi satisfaire de nombreux ménages : « les acquéreurs sont toutefois de plus en plus nombreux dans la commune et les prix sont naturellement tirés vers le haut. ». Ainsi, le département du Val-de-Marne (dont Vincennes fait partie) enregistre un nombre d’acheteurs potentiels supérieur de 12% au nombre de vendeurs.*

L’immobilier à la hausse à Vincennes

Si Michael attendait une stagnation voire une baisse des prix avec la crise du Covid-19, c’est l’inverse qui s’est produit : « nous n’avons jamais eu autant de biens à vendre que maintenant, à des prix toujours croissants. Si les appartements nécessitant des travaux ou situés en rez-de-chaussée peinent à trouver preneur, ce n’est pas le cas des biens en bon état. ». Il mentionne ainsi des niveaux de prix inégalés jusque-là : « nous dépassons facilement les 10, 11 000 euros le mètre carré pour la plupart des estimations d’appartements en état neuf que nous réalisons. ».


A Vincennes, la demande n’est pas prête de s’arrêter, pour Michael : « portée par la proximité avec la capitale, la qualité des infrastructures et des transports en commun (Vincennes est desservie par le RER, le métro et le bus, ndlr), la demande vincennoise ne devrait pas s’arrêter de sitôt. Même si certaines rues restent abordables – entre 7 et 9 000 euros le m2 – nous allons atteindre des niveaux de prix semblables à ceux de Paris », conclut l’agent immobilier.

Source* : meilleursagents.com